21 Septembre 2014
The Ceaseless Pearl
Dés la première insertion du disque dans mon lecteur, j'ai reçu comme un impact, comme une météorite en plein plexus solaire. Au fil des écoutes sous rayons X et laser...je dissèque ce dixième albums, avec temps et parcimonie.
Au fer et à mesure que je l'écoute, j'ai envie de prendre Robert Plant de le serrer dans mes bras et lui dire ;
Merci
pour ce joli cadeau
Comme l'a dit mon chat, assis en tailleur sur son tapis incrusté de photos de souris, dansant la Mouse Music,
"ce rond en plastique, chat déchire grave sa race".
pour la signification de cette phrase hautement philosophique, voir mon chat !!!
Il y a un mélange de sonorités vraiment éprouvantes, un doux mélange qui donne un cocktail ne pouvant laisser personne, insensible, indifférent, aux saveurs et aux ingrédients qui le compose.
Le dernier morceau, la rencontre du Nord et du Sud, ce grand plus, ce touché qu'apporte Juldeph Camara est indéniable.
Up On The Hollow Hill,
(mon préféré...du moment...)
le rythme y est lourd, envoûtant, hynoptisant et lancinant, comme une grosse machine qui doucement, tranquillement, sans pitié aucune, est prête à tout broyer sur son passage, une tornade dévastatrice, qui vient balayer une boite remplie de neurones pour y laisser l'image d'un coeur rempli d'espoir.
La douce voix de Robert Plant posée sur ses rythmes et accords, vient élever mon esprit, très haut dans le ciel de mon imagination.
La sensibilité et la fragilité de la voix de Robert Plant sur House Of Love est un vrai délice pour les oreilles.
Il m'est impossible de dire si c'est le meilleur album de Robert Plant, car ils sont tous différents et à la fois déroutants.
Rythmiquement parlant, ces mélanges afro/celto/world, me fascinnent tout au long de cet opus.
En attendant, c'est une putain de création hors normes, comme a l'habitude de le faire le chanteur.
Les morceaux me plaisent tous, les uns après les autres, ils m'apportent chacun d'entre eux leur touche de découverte.
L'album me fait penser à une sorte de conte de faits, des histoires que l'on découvre les unes après les autres, une évolution en vue d'atteindre un sommet. pour par la suite, plonger dans une magnifique mer bordée de coraux, une sorte de bain de jouvence.
Je dirai que ce dernier opus est un morceau globalement MAGISTRAL.
Il est pour moi, le condensé de tous les albums solos de Robert Plant, la synthèse de sa deuxième vies après son passage dans Led Zeppelin, il est l'aboutissement, tout proche du Nirvana...
On pénètre une fois de plus, l'univers musical de Robert Anthony Plant avec des musiciens ou le chanteur et producteur de l'album a eu l'intelligence et la subtilité à savoir s'entourer avec de telles personnes, des artistes et créateurs de classe.
Ce groupe est une équipe de rêve, au sein d'une bien belle unité créatrice.
A eux seuls, ils ont mis au monde cette dernière perle Royale qu'est ce,
Lullaby and...The Ceaseless Roar.
Lorsque le soleil refusera de briller, je mettrais désormais cet album pour me réchauffer le coeur.
J'en rêvais,
l'a fait.
I wanna thank you.
2014
est décidement, dans l'âme
et
le coeur de
Led Zeppelin
"Long Live Rock 'n' Roll"
M-V
21-09-2014
Et maintenant,
une interview "petit déjeuner" avec
Robert Plant,
diffusé sur la BBC,
c'était le 10 septembre 2014
+
Toujours sur la
dans l'émission
du
5 septembre 2014
Robert and his brilliant new band, y interprète 5 titres
Little Maggie
Pocketful Of Golden
What Is And What Should Never Be
Turn It Up
et
Rainbow